Une étude a été réalisée par Fed Business, Hellowork.io et RegionsJob en ce qui concerne les enjeux du marché du marketing et de la communication de nos jours. Environ 522 communicants et marketeurs ont livré leurs avis à ce sujet. Ils ont fait part de leur niveau d’étude, rémunération, expérience, besoins et structure. Suivez tous les détails dans notre billet.
Répartition et fonction des professionnelles sondées en France
Pour intégrer ce monde professionnel, le niveau d’étude minimum requis est le Bac+4/5. Seulement 21 % de ces individus affirment avoir un niveau Bac +2/3 et seulement 1,5 % des personnes interrogées ont un Bac ou ont suivi une autre formation. Selon les enquêtes, le quart de ces 522 communicants et marketeurs se trouve en Ile-de-France. Environ 17, 5 % sont basés à l’Auvergne-Rhône-Alpes tandis que 10 % sont en Bretagne.
La fonction principale la plus répandue est le chargé de communication (21 %). Le responsable communication représente 12 % tandis que le responsable marketing et le chef de projet sont à égalité : 11 %. Apparemment, personne ne semble intéressé par le poste de chef digital officer.
La rémunération moyenne d’un marketeur et d’un communicant
En moyenne, plus de 60 % des personnes sondées témoignent qu’elles gagnent au moins 34 000 euros par an. Ce pourcentage est détaillé comme suit : seulement 36 % touche 28 000 euros ou moins, 24 % entre 28 et 34 000 euros, 19 % entre 35 et 44 000 euros, 13 % entre 45 et 60 000 euros et enfin 8 % sont payés plus de 60 000 euros en une seule année.
Cependant, ce chiffre évolue avec l’expérience de chaque candidat. En effet, 52 % ou la moitié des personnes interrogées ne sont pas tout à fait satisfaits de cette rémunération, notamment les individus ayant 2 et 5 ans d’expérience ou encore les personnes de 6 à 10 ans. Toutefois, c’est l’inverse avec les profils experts, très expérimentés qui ont 15 ans de pratique.
Enfin, plus de 57 % des personnes interrogées affirment que le choix de leur poste dépend de la rémunération (36 %), mais aussi de l’ambiance de travail (34 %), les perspectives d’évolution dans le métier (22 %) et l’envie de travailler auprès du recruteur (12 %).
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